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du vestibule de la Cour des comptes (BENEDITE, pages 318-319 pl. XXVII [[underlined]] le Silence [[/underlined]] et XXVIII [[underlined]] la Meditation et l'Etude [[/underlined]]), que le dessin qui nous occupe annonce d'une façon frappante. Dans les dessins que j'ai retrouvés au Louvre, il n'y en a pas d'une aussi éclatante qualité, ni aussi achevés.

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J'ai bien noté vos demands concernant les reproductions de [[underlined]]l'Oeil[[/underlined]], Septembre 1964, et vous en écrire par un proche courrier.

J'ai consulté également [[underline]]l'Oeil[[/underlined]] de Juillet-Aout 1964 au sujet des aquarelles de Gustave Moreau pour lesquelles vous m'avez écrit. J'ai vu qu'il s'agit de la plus grande partie des aquarelles de l'édition illustrée des [[underline]]Fables[[/underline]] de la Fontaine, lesquelles auraient disparu au cours de la guerre de 1914-1918. Cela laisse peu d'espoir de les retrouver, car M. Ragner von Holten n'aura sans doute pas manqué de remuer ciel et terre pour les retrouver. Mais je note que ces aquarelles vous interessent, et, le cas échéant, je ne manquerais pas de vous signaler ce qui pourrait les concerner.

Pour les peintures de Pannini, j'attendais une réponse de M. Gregorietti conservateur du Musée Poldi-Pizzoli à Milan; je lui ai téléphoné ce matin : il était au Japon, et va me demander un rendez-vous avec la famille; il me fera savoir prochainement ce qu'il en est.

Je vous prie de recevoir, cher Monsieur, l'expression de mon meilleur souvenir.

5 Décembre 1964.      M. Sandoz.