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Paris, le 5 février 1957

Cher Monsieur Saligman,

C'est après un long silence que je reprends notre correspondance. Je m'en ecrire beucoup. J'ai été malheureusement très ignoré dans la deuxième quinzain de décembre: j'ai failli pudre ma mère, dans l'état reste encore peu brillant, la santé de ma femme - maintenant toujours [[mastiau?]] - me grive de la gente ainsi sur laquelle je pouvais compter. Aussi, depuis plus d'un mois, je ne fais plus que l'indispensable. Tout cela m'a coûté beaucoup de temps et d'argent, et qui reste entre danse ses dades qui me paralysent mot qu'elles.

Je vous ait fait envoyer en janvier le livre sur Pajou et le catalogue de l'imposition Riolin. Pour cela aussi, j'ai été contrisé sur ces ouvrages vous ont été adussis [[underline]] par le bateau un imprisonnés mon recommendés [[/underline]], malgré les institutions que j'aime dessus à la personne que j'en avais chargé; mais l'employé des postes les ayant déclaré que cela contient plusieurs millions de francs que l'avion et sur la paquet possedait aussi sûrement non recommandé, il vous a été indressé aussi. J'inquire que vous l'avec reçu, mais cela m'inquiète assez.

Pour ;'Huente de la Muran, vous l'avez ci-jointe qq insignements parmis. - quant au dessin de S. Vouet, ke n'avais encore indication justication à son sujet.

Après l'assin soigné moi-même plusieurs jours, j'ai dû mettre ma mère dans une maison de santé; je sais qu'elle va se rétablir plus complètement. C'est très triste. J'espère que vous auriez mieux commencé l'année que moi.

Sûrement votre
H. Baderou