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air enleve une partie de l'huile et fait pénétrer le reste dans l'intérieur. c'est à l'expérience du chamoiseur selon la qualité de ses peaux à les laisser plus ou moins à l'air, les passer plus ou moins de fois à l'huile, les remettre un plus grand nombre de fois au foulon et leur donner plusieurs vents. Les peaux grasses exigens plus de vens que d'huile, si elles sons seches, elles demandent deux huiles sur un vens, les peaux fortes ons besoin d'avoir plus de vents et de foule. C'est à l'intelligence de l'ouvrier et à son tact a régler les différentes opérations, selon l'état où il voit que sons les peaux. Lorsque les peaux à l'aide du vens et du foulon ont été pénétrées d'huile autant qu'il est possible, il s'agit de les mettre en chaleur, c'est à dire en fermentation pour dilater