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pour en être bien pénétrées. quand l'ouvrier juge qu'elles sont assez, il les sort et les met [[underline]] au pourissoir [[/underline]] c'est un espace libre réservé dans l'attelier du trempis sur le pavé où l'on entasse toutes ces paperasses pour qu'elles s'echauffent et qu'elles fermentent. La chaleur y devient si sensible qu'on auroit peine à pouvoir y tenir la main; c'est dans cet état que les matières doivent être pour pouvoir se preter à la trituration.
Selon que l'ouvrier veut faire du carton plus ou moins fort, plus ou moins délicat, il mêle dans son trempis des rognures de papiers ou de celles de cartes, des papiers blancs ou de gris et a envelope. du pourissoir les matières sont portées dans [[underline]] l'auge a rompre [[/underline]]. on