Viewing page 180 of 394

This transcription has been completed. Contact us with corrections.

174
que soyent les pains. La cire fonduë
dans une chaudière est transvasée
dans un grand coffre de cuivre.
environné de cendres chaudes, des
ouvriers viennent plonger dans [[underlined]] ce
coffre a éculer[[/underlined]] un petit vaisseau
de cuivre étamé qui a deux  becs
qu'on nomme [[underlined]]éculon[[/underlined]] dont ils vont
ensuite remplir les moules des planches
qui ont été bien mouillés, les deux
becs remplissent deux moules à la
fois. On y laisse secher la cire et
en trempant la planche dans l'eau, les
pains se détachent du moule, des
ouvriers les ramassent sur la surface
de l'eau et les portent en magasin.
La cire a pris alors son dernier degré
de blancheur. 
C'est dans cet état que les ciriers
la travaillent pour en fair des
bougies d'apartemen et des cierges
de différentes grosseurs, ils commencen
d'abord par former les meches, on les