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[[underlined]] jambes [[/underlined]], l'endroit ficelé le [[underlined]] colet [[/underlined]] et les deux extremités le [[underlined]] manche [[/underlined]]. on enleve ensuite la rauete ébauchée de dessus le moule et on la porte sur le [[underlined]] banc a dresser [[/underlined]], où en la contraignant de différents manières entre des crochets, des crampons et des poids, on parvient a lui donner le biais et la forme nécessaire pour qu'elle soit bien [[underlined]] en main [[/underlined]]. Ce travail est une affaire de pratique.

Quand la raquete est à son point, de peur qu'en refoidissant elle ne perde de sa forme, on maintient son écartement par des morceaux de bois et de fer qu'on place dans les différentes parties, on les nomme des [[underlined]] cabillets [[/underlined]]. Si l'on veut aplatir d'avantage sa tête, on se sert d'un instrument appellé [[underlined]] cheurete [[/underlined]].

ensuite on la place sur un autre étable pour abattre et adoucir les vives arrete