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des calottes. cette coiffure triste et plate fut ensuite un peu embellie en attachant tout autour des cheveux postiches. on essaya après de lacer des cheveux dans un toile étroit de tisserand et l'on consoit par rangér ces entrelacements sur la calotte même renduë plus mince et plus legère.
On parvint enfin après bien des essais a faire des tresses que l'on cousoit sur des rubans et qu'on assembloit ensuite sur des têtes de bois, ce qui imitoit assez bien la chevelure naturelle. Cet art s'est perfectionné de nos jours aupoint de ne pouvoir pas discerner quelquefois des cheveux naturel d'une péruque.

L'usage des perruques  étant devenu extrêmement commun, Le Corps des perruquiers, dont sous Louis 14

Transcription Notes:
For searchability: Louis XIV