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se polit d'abord en le dérouillant et le décrassant avec de lécrille de fer, ensuite avec des limes douces qu'on passe en divers sens, afin que les traits formés par les premières limes se croisent se croisent et se confondent avec les nouveaux, ce qui ne fauroit être trop répété pour que l'ouvrage soit très brillant. on acheve de lui donner un grand poli en le frottant a vu une composition d'emery de pierre à l'huile, de la potée détain du tripoli &c.

Les serruriers travaillent leurs ornements en fer le plus communement en le faisant rougir a mollir à la forge et le versant dans des moules creux d'acier trempé, conformés selon la figure qu'on veut donner à ce morceau de fer, comme il n'est pas assez coulant pour entrer dans toutes les parties