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horizontale de toutes les surfaces de l'appareil. Les épreuves auront lieu en juin 1907. Les engagements sont reçus au slége de l'A. C. D. F., 58, rue J.-J.-Rousseau, jusqu'au 20 mai prochain. 
M.M. Archdeacon, capitaine Ferber et G Voisin forment le jury.
News Passaie N.J.
7 Mar 1907 

MODERN AIRSHIPS.   
There is to be a great international display of aeronautics this fall at St. Louis, and some of the world's highest and swiftest flyers of the air are expected to take part.
Almost every country of Europe has some scientist who has breasted the upper atmosphere in the adventure of discovery for an instrument that could be guided against wind and currents as are the boats that ride upon the waters of the deep, and many of the best of these have been invited to participate in this exposition. That quite a number will attend is already assured. Among those who will attract particular attention are: Usuelli, of Italy; Santos-Dumont, of Brazil, but just now credited to France, and our own Knabenschue, all daring explorers of the upper firmament, men who have made ballooning the main objective of their lives, and who have succeeded to a measurable extent in the control of machines, both in direction and against currents of wind. Knabenschue, within the past two years, in the gaze of New Yorkers, has navigated his dirigible balloon around church steeples, and flown low and high, at his own sweet will. Santos-Dumont has accomplished as much in Paris, circling the Eiffel Tower, on the Champ du Mars, while Usuelli, the boldest of them all, has successfully crossed the Alps, leaving Italy, moving into high altitudes and landing in France. During the past year he has attempted to reach the highest altitude, but in this he failed, his highest reach being 22,840 feet. Three times the young enthusiast ventured into the cold atmosphere of the upper world, and each time returned baffled by strange conditions. He discovered, as others had done before him, that nature has some hidden secrets that it is not yet prepared to deliver up to ordinary man. The zero weather of the upper strata may be overcome in the future, but the instruments seem not yet to be in human hands.
What the future may bring forth in the line of invention for discoveries in the ether above must be left for that future to work out. So far balloonists seem to be stopped at a distance of 30,000 feet. Berson and Suring, at Berlin, Germany, claim to have reached that distance in an ascent made in 1894, though the actual measurement allowed was 28,750 feet. No one will quarrel with the little difference. It is as high as the tallest peak of the Himilayas, and man has not as yet been able to accomplish the feat of its ascension with terra firma under his feet and all the advantages of modern mountaineering. Other men than Berson and Usuelli have crossed the 20,000 feet mark, notably Glashier and Coxwell, in 1862, amid suffering that almost ended their lives. According to the record, even Stephen and Joseph Montgolfier, the first of intrepid balloonists, as far back as 1783, are said to have reached the great altitude of 25,000 feet. So modern balloonists have nothing extra to boast of.
But the St. Louis exhibition of ballooning is not to be devoted to the question of high altitudes. Its more serious problems are the discoveries incident to propulsion of dirigible balloons, areo-planes, aeroromes, anything that can be made useful in flying in the upper air, under control, and which, by development, can be made profitable for commercial purposes. If it does not attain this important proposition, then it will pass out of men's memories like a theatrical show that has afforded gratification for the hour of its production. 
People have an idea that everything under the sun is the result of nineteenth and twentieth century invention and thought; that our ancestors were a lot of thick-headed numbskulls, whose sole objective in life was to secure sustenance wherewith to feed the body, and that thoughts above the carnal never entered their minds. If the records of history are correct, even ballooning was not unknown to the ancients 
 
Une Nuit dans les Airs. - 650 kilomètres sans Escale. - Les Neiges d'Auvergne.
Le magnifique raid aérien accompli par M. Paul L'église et son passager, M. Alfred Pène, à bord du ballon «Fernandez-Duro», battant pavillon de l'Aéro-Club du Sud-Ouest, et dont nous avons indiqué succinetement le parcours dans notre dernier numéro, mérite les honneurs d'une chronique spéciale, car il aimaraît bien, à l'examen, comme le plus intéressant des innombrables voyages aérostatíques accomplis jusqu'à ce jour au départ de Bordeaux.
On peut même prétendre qu'à ce point de vue il va être très remarqué dans les milieux sportifs de l'Aéro-Club de France. Dès mercredi matin, à l'arrivée de M. Paul Léglise à Bordeaux, nous avons tenu à nous faire narrer, à l'intention des lecteurs de la «Petite Gironde», ce voyage sensationnel par le pilote lui-même. Interview d'autant plus documentaire, qu'inquiété en son extrême modestie, le voyageur s'est discrètement retranché derrière son livre de bord. En réalité, nous ne pouvions mieux désirer, nos aéronautes bordelais ayant pour habitude, en parfaits nautoniers qu'ils sont, de serupnieusement annoter ce précieux livre, témoin de leurs envolées captivantes.

UN REMARQUABLE PILOTE
Mais il n'y a point de modestie qui tienne, en de certaines circonstances, et notre devoir sera tout d'abord de présenter à nos lecteurs le premier tenant de notre grande coupe de distance de 1907. M. Paul Léglise, neveu de M. Léglise, député des Landes, est un des plus distingués et assurément des plus habiles pilotes - il vient de le prouver - de la remarquable compagnie des pilotes de l'Aéro-Club du Sud-Ouest.
Dans toute la force de l'âge «sportif» - vingt-huit ans - à l'époque de la vie où l'on a toutes les qualités morales et physiques pour les randonnées audacieuses en pleine nature, il pratique l'aérostation depuis deux ans.
Il nous souvient de l'avoir suivi en automobile lors de son premier voyage aérien, qu'il fit sous les ordres d'Alfred Duprat, un de nos plus anciens, de nos plus experts pilotes bordelais, le 17 mai 1905, du côté de La Réole, à une très grande altitude. 
Comme tant d'autres, il fut aussitôt touché de la grâce... Nous le lui avions prédit. Il fit encore cinq ascensions avec Ch. de Lirac, cet autre maître ès aérostation, puis une nouvelle avec Alfred Duprat, après quoi il passa brillamment ses épreuves de pilote officiel de l'Aéro-Club du Sud-Ouest, dont il vient de s'affirmer un des plus remarquables représentants, après avoir récemment gagné les concours de Pau, ainsi que nous l'avons naguère annoncé.

LE DEPART. - SUR LA FLEUVE
Mais parlons vite du grand voyage en Auvergne. M. Léglise nous en voudrait trop de parler d'autre chose. 
Ouvrons le livre de bord et confessons aussi le pilote; arrachons à sa modestie les petits secrets que nous dévoile son bel enthousiame.
Il est une heure vingt. Le <>, rutilant de fraicheur en son étoffe claire et neuve, élè e au-dessus de Bordeaux sa boule de 1,200 mètres cubes. Le 23 janvier dernier il faisait son premier voyage, on s'en souvient, pour l'anniversaire de l'exploit transpyrénéen du champion dont il porte le nom fameux. Et ce jour-lá il fut guidé dans les airs par trois pilotee <> de France et d'Espagne. Noblesse oblige, et on dirait qu'il le comprend des le début de son deuxième voyage.
Lentement, par un vent du nord, l'aérostat remonte le fleuve, á quelque trois cents mètres d'altitude. Il passe sur la gare Saint-Jean, puis monte à cinq cent mètres et, toujours très Jentement, retraverse le fleuve un peu plus en amont, au dessus de l'ile d'Arsins.
A deux heures dix il passe au-dessus de Cambes. En cinquante minutes il n'a franchi que seize kilomètres, mais l'allure s'accentue vers angoiran. Le << Fernandez Duro >> monte encore et passe à mille mètres
La nuit approch ne. Les Aéronaute vallée et croient vers Montpellier. ler parfous fantase sous d'eux, voici Sainte-Marie, puis accentuant cette «Duro» laisse Ag mières que s'allurent M. Léglise a en lest. Il lui en reste gagne encore. Avec que, le pilote con truments. En bas, se lèvera qu'à on non, voici deux vi de l'autre, et la s parfois du bon, - les deux sous-pret moins éloignées son sac. Ce sont elles fond du gonffre d'un grand fleuve La marche est re là-haut 5 degrés a sept heures du so équilibré maintenant d'air entre 1,500 et

DANS LE NOL L'A
Et jusqu'à onze jusqu'à la lune, ce que absolu. M. Léglise pense figer vers l'Est. rêter dès qu'il se Rhône, pour ne pa s'approcher du m passaient sur les rons de Rodez et Cantal du côté de

LA NEIGE!
Minuit. Altitude ture: 6 degrés au vée parmi des nua une chute de ses deux voyageurs, él sous d'eux, à quel à peine, un imm Température: -7 c'est aussi l'extras au-dessus des effaits central, où tout, v disparaît englouti dans les clairs ra 
Soudain, la pet teint. Est-elle veut naire? Non. Elle le vulgaire lampe et glise n'en a pas 
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