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et quand le beau temps sera revenu, vous aussi vous retrouverez la santé au milieu de votre beau verger rempli de promesses.

Comme vous, mon pauvre John, j'ai une petite bronchite est de suis enfermée; nos maladies se suivent souvent vous le savez; c'est par sympathie probablement. Tout le monde dans le pays pense à vous et parle de vous; on vous aime bien, et le souvenir de votre bonté et de votre dévouement pour les malades restent bien gravés dans tous les coeurs reconnaissants.

Au revoir, cher John à bientôt j'espère; courage, confiance toujours; Dieu est avec vous

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et vous amis vs aident de leurs prières.Le colonel
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