Viewing page 115 of 188

This transcription has been completed. Contact us with corrections.

[[q5 Personal]]

Paris, le 25 Juillet 1949

Mon cher Oncle Germain,
Merci infiniment de ta si gentille lettre du 2I que je viens de recevoir. 
L'affaire avec Monsieur Guiot est reglée. Lui ayant téléphoné jeudi dernier, il m'a dit qu'il tenait à ma disposition les 50.000 francs prévus. Je vais les donner ce soir à Papa pour les mettre dans le coffre. Personnellement je trouve ce monsieur assez antipathique. Qu'en penses-tu ?
Quant à Monsieur Lefebvre-Foinet, au moment de lui téléphoner ce matin, selon test instructions, quelqu'un est venu de chez eux voir ce qu'il y auait à peu près et ils viendront tout prendre demain après midi.
F.G. vient de partir en voyage mais, comme tu peux le voir, il a pris le temps de me dicter une réponse à ta lettre. J'espère que cette réponse ultra rapide te plaira.
Je suis toute seule au bureau, F.G. ayant emmené Monsieur de Messey et Monsieur de Batz avec lui. Herureusement que j'ai Madame Nupied avec moi.
Alain s'en va Lundi prochain pour l'Afrique et je ne sais quand nous le reverrons. C'est bien triste de penser que dans une semaine il ne sera plus là.
Serais-tu assez gentil pour remercier beaucoup Ethlyne de sa charmante lettre. Je suis très désolé car j'ai du mal à la lire, mais enfin j'y arrive tout de même. Je lui écrirai quand je serai en vacances.
J'espère que vous vous reposez bien et que vous êtes moins fatigués après ce court voyage à Paris. Vous me manquez tous deux terriblement et je suis bien triste quand je monte au 3ème de voir ton bureau inoccupé.
Je vous embrasse tous deux très très affectueusement.

Claudius