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crise de dépression, le vende trop bon marché, mais qu'à part cela, il enserait tout à fait vendeur parce qu'il y avait trop longtemps qu'il était dans la maison mais seulement à partir du moment où il (César) serait aux Etats Unis et où il ne pourrait pas avoir de mauvaise surprise au sujet du prix de vente. J'ajoute, en ce qui concerne la psychologie de César, que l'expérience démontre qu'il gagne beaucoup plus d'argent et vit beaucoup plus agréablement ici en ce moment qu'il ne pourrait le faire en Amérique, et cela malgré toutes les théories de Germain sur le fait qu'un franc ne vaut rien. Cela n'empêche que quand on en a beaucoup bout à bout, on vit très agréablement et somme toute beaucoup mieux ici qu'à New York.
J'ai vu Philippe Leclercq qui n'était pas acheteur mais très gentil.

^[[Milles affections FG.,
je crois que cette lettre est mélangée à celle de Germain.]]